Titre : Les chroniques de MacKayla Lane T1 : Fièvre noire
Titre VO : Fever, book 1 : Darkfever
Auteure : Karen Marie Moning
Nombre de pages : 309
Note : 5/10
MacKayla Lane perd sa soeur Alina, victime à Dublin d'un assassinat aussi cruel qu'inexplicable. Devant la mollesse de la police locale, elle quitte le sud des Etats-Unis pour l'Irlande afin de mener sa propre enquête. Elle y découvre que sa soeur y menait une double vie pleine de mystère au milieu de créatures démoniaques.
Ce que j'en pense :
Au départ, ce livre ne me tentais pas tant que ça.
Mais je voulais découvrir qui était le fameux Jericho Barons qui fait tourner la tête de toutes les filles.
Et finalement, je ressors de ma lecture déçue.
Je m'attendais vraiment à mieux.
Justement, je suis peut-être déçus parce que j'attendais trop ce livre.
Les chroniques de MacKayla Lane, c'est l'histoire de Mac, qui un jour décide d'aller à Dublin pour trouver l'assassin de sa soeur.
Mais arriver là-bas, rien ne va se passer comme prévus.
Et voilà, je fais partie du club très fermé des gens qui n'ont pas aimé les chroniques de MacKayla Lane.
Je crois que ça commence à devenir une habitude chez moi.
J'ai trouvé ce livre lent.
Il y a une enquête, du suspence, du surnaturel.
Et pourtant, il ne ce passe pas grand-chose.
J'avais l'impression de regarder une action au ralentit.
Et pourtant, je l'est fini.
A chaque je me disais que la prochaine serais mieux.
Et arrivé à la fin, ce n'était toujours pas mieux.
Au contraire, j'étais plutôt du genre.
Ouffffffffffffff, enfin fini.
Ce récit est écrit par la Mac du futur.
Elle nous raconte donc son histoire, et j'ai beaucoup aimé ses petites impressions éparpillé sur ce qu'elle faisait.
Et justement, parlons-en de Mac.
Il y a des héroïnes que j'ai envie de baffer, et bien elle jamais plutôt envie de l'étriper.
Elle m'a énerver au plus haut point.
Déjà, Mac est une poupée Barbie.
Et j'ai horreur de ça.
D'où lui vient cette adoration pour le rose ?
Elle est toujours en train de se plaindre.
Pour une fois elle devait s'habiller en noir, ça y est c'était la fin du monde.
Elle refuse de croire ce qu'elle voit.
Elle m'a énerver pendant tout le livre.
Même si elle s'améliore un peu vers la fin.
Par contre Barrons...
C'est pas du tout la même chose.
Barrons c'est...
Ce type a tout.
Je comprends tout de suite mieux pourquoi toutes les filles en sont folles.
Déjà, c'est un libraire.
Il est mystérieux... très mystérieux.
Et surtout...
Il est dangereux.
A partir du moment où on se dit qu'en fait il fait belle et bien partie du camp des gentil, il se passe quelque chose.
Et là tu te dit " Quoi que..."
En fait, pendant tout le livre ce type m'a beaucoup intrigué.
En tout cas, Barrons, c'est tout à fait le genre de personnage que j'aime.
Finalement, je ne me suis pas autant amusée que je l'aurais crus.
Au contraire, je me suis plutôt ennuyée.
C'est vraiment dommage, ce livre avait l'air d'être bien.
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