mercredi 10 juillet 2013

Apocalypsis T4

Titre : Apocalypsis T4 : Cavalier pâle : Elias
Auteure : Eli Esseriam
Note : 10/10  COUP DE COEUR

Elias Land, le Cavalier Pâle, est sensible, introverti et mélancolique. Son physique androgyne et son bégaiement rendent ses relations aux autres difficiles, voire douloureuses. Elève brillant, il se passionne pour les sciences et découvre qu’il peut manipuler le temps et se promener dans le passé ou l’avenir.

Il peut induire la maturation des maladies ou le vieillissement prématuré des êtres vivants par le toucher. Sa bienveillance et sa promptitude à culpabiliser le poussent à porter constamment des gants et à prendre d’innombrables précautions de façon obsessionnelle. Il sera le bourreau involontaire et désespéré de nombre de personnes avant de se résoudre à son destin.

Ce que j'en pense : 

Décidément, dans cette saga, plus on avance mieux sont les tomes.
Ce 4e tome est mon préférer des 4.
Cette saga va en crescendo.
Je n'avais pas aimée Alice.
J'ai beaucoup aimé Edo.
J'ai adoré Max.
Mais Elias est juste à croquer.

Après avoir fini le tome 1 avec Alice j'ai voulu savoir qui seraient les autres Cavaliers.
Je me suis dit que vu que je suis bien "Bad boys" j'allais beaucoup aimer Edo, ce qui c'est révélé vrai.
Max est typique du personnage dont j'ai horreur, et pourtant...
J'ai adoré Max, il m'a fait rire, il m'a fait pleurer, j'ai vraiment adoré.
Mais avec Elias, je me suis dit que ce serais mon préférer.
Et il c'est avérer que oui, j'ai vraiment adoré Elias.
Il a vraiment été mon petit chouchou.

Avec Elias, Eli Esseriam nous plonge dans un monde mélodramatique.
Elias est maudit c'est clair.
J'avais l'impression que tout dans sa vie l'empêché d'être heureux.
Comme si la vie le privés de tous les bonheurs qui existent.
Et ça m'a fait beaucoup pleuré.
j'ai pleuré pendant les 3/4 du livre.

En lisant Edo, je me suis dit qu'on pouvait pas avoir une vie plus merdique que la sienne.
Et bien je me suis trompée.
Il y a celle d'Elias.

C'est bizarre comme l'auteur arrive à nous faire resentir tous les sentiments d'Elias.
Quand on lit ce livre, on se sent comme si Elias c'était nous.
Dit comme ça, ça fait un peu bizarre mais je pense qu'il faut vraiment avoir lu ce livre pour comprendre ce qu'on peut resentir avec ce livre.

j'ai bien aimé que dans ce "dernier" tome, Eli Esseriam nous fasse un lien entre tous les cavaliers.
Il y a beaucoup d'allusion à tel ou tel cavalier.

En attendant j'aimerais bien savoir qui à provoqué le réchauffement climatique avec Elias.

Et puis la fin.
Max m'a juste fait éclater de rire.
Et ça fait du bien de rire un peu après avoir pleuré pendant 259 pages.

Comme je vous ai dit plus haut, Elias est mon petit chouchou.
Ce mec est juste à croquer.
On le mangerait tout cru.
Parce qu'Elias est vraiment super mimi.
Je crois qu'on peut dire "Une main de fer dans un gant de velours".
Parce que Elias, il à beau être tout mimi dehors, dedans ça bouillonne.
Et surtout, vers la fin, Elias n'hésite plus à tuer.

Elias a un don, ou une malédiction on sait pas trop en fait.
Tout ce qu'il touche fini par mourir ou par se réduire en poussière.
Et Elias souffre particulièrement de cette situation.
De ce fait, il porte toujours des gants.
Mais il peut aussi voyager dans le temps.
Don qui est plutôt pas mal.

Pour finir, ce livre est un véritable coup de coeur pour moi.
Il est le meilleur des 4.


2 commentaires:

  1. J'ai adoré Elias aussi, qui a une vie horrible et intenable au vu de son don destructeur. J'ai éprouvé une immense compassion pour lui...
    Le 5ème et dernier tome m'a par contre moins convaincue et la fin ne m'a pas plu.

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    1. Oui, en plus le pauvre c'est pas comme si c'était un méchant garçon.
      Il veut faire le bien et toute compte fait il peu pas :'(

      Oui, c'est ce que j'entend beaucoup sur ce tome 5.
      Ça calme un peu mon ardeur, j'ai vraiment peur d'être très déçus.

      Je vais aller le chercher cette aprèm à la médiathèque on verras bien.

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